Soustitre
Pour la première visite d'un président français au Rwanda depuis le génocide de 1994, le chef de l'Etat s'en est tenu à la position toujours exprimée par la France, qui refuse de demander pardon.
Résumé
Ceux qui réclament des excuses devront encore attendre. En visite de "réconciliation" au Rwanda jeudi 25 février, Nicolas Sarkozy s'en est tenu à la position traditionnelle de la France sur le génocide de 1994, reconnaissant des "erreurs" mais refusant toute repentance.